George Sand a écrit ce conte fantasmagorique à la fin de sa vie lorsqu’elle était à Nohant. La nature y tient une place prépondérante et je pense que ce n’est pas un hasard.
Comme dans de nombreux contes, nous faisons la rencontre d’un jeune héros bon et doux qui au contraire de son abjecte famille ne veut que le bien. Gribouille incarne l’amour inconditionnel et la naïveté. Sa famille le maltraite et le repousse mais lui ne cesse d’espérer avoir leur affection. Alors qu’un après midi, il fait une pause près d’un chêne qu’il aime bien, Gribouille se fait piquer par un bourdon. Alors qu’il pardonne gentiment à l’insecte qui l’a fait souffrir, un étrange songe le prend où il rencontre un homme bizarre vêtu de violet et à la voix grésillante, lui promettant mille richesses.
Ce personnage n’est autre que le M. Bourdon l’antagoniste de notre histoire. Gribouille va s’apercevoir que le monde dans lequel il évolue n’est pas si simple qu’il y parait. Insectes et humains se fondent dans des créatures anthropomorphes. On ne sait jamais vraiment à qui on a affaire. Au fil de ses rencontres et de ses engagements, Gribouille va résoudre un conflit qui le dépasse et rendre au monde l’amour qui lui est nécessaire pour bien fonctionner.
Bonjour,
J’ai été bercé par ce livre formidable 🙂
Je recherche une version audio (pas celle de René Depasse que l’on trouve assez facilement sur le net).
Je me souviens avoir écouté ce conte dans les années 80 et je viens de perdre la version audio que j’avais réussie à trouver.
Au cas ou un amateur passerait par là 🙂
Je ne connais pas du tout les versions audio mais j’espère que quelqu’un passera par ici pour vous aider à retrouver cette version 😉
Merci de votre passage par la bergerie